ToutePourvous : Pute à son Daddy

Histoire d’une rencontre

Monsieur m’a contactée, il y a quelques années, sur le premier site sur lequel j’avais décidé de m’exposer et proposer mes charmes à qui les voudrait en tant que travesties…

Je sortais de quelques expériences avec des couples, en homme-femelle et une particulière comme soubrette totalement féminisée dans le cadre d’un week-end libertin organisé par la femme d’un couple qui m’avait voulue comme femme et femelle à tout faire, première vraie expérience en travestie aboutie en mode h24…

Cela fera l’objet d’une histoire spécifique relatée ici prochainement si ce n’est déjà fait au moment où vous lisez ces lignes…

Monsieur, donc, m’avait contactée sur ce site, se déclarant amateur de travestie et était tombé raide devant ce que j’exposais, à savoir ma personne, apprêtée, féminisée, perruquée, peu maquillée encore à l’époque. Il s’exprimait peu à l’écrit, car pas de langue maternelle française, mais manifestait un vif intérêt à me rencontrer. Cela ne s’est pas fait à ce moment-là.

Il m’arrive de sortir en boîte… Je m’étais donc décidée à aller dans une boîte, un tripot gay qui organisait des soirées à thème, dont une fois par mois, le thème était dédié aux femelles de mon genre. Je n’y étais jamais allée précédemment et décidai de m’y rendre seule… (Cela pourra aussi faire l’objet d’un autre récit illustré…).

Ce faisant, j’avais l’intention d’ajouter un peu de crédibilité à mon existence et être prise en photos en public en celle que je suis… ce que je n’avais effectué que de façon très sporadique jusque-là et jamais en public.

Arrivée sur place et ayant fait le voyage en travestie aboutie et assumée, je constatai que la plupart desdites travesties se rendant en ce lieu n’étaient en fait que des crossdressers qui se changeaient sur place, et faisait preuve d’un service minimum en matière de féminisation, moi qui m’étais apprêtée et poupounée toute l’après-midi et avais voyagé en femme 1h durant…Déception !

En allant m’installer au bar, je constatai que des regards se tournaient sur ma personne… A peine installée, je fus abordée par un petit monsieur, avec un accent espagnol qui, à peine m’eut-il dit bonjour, me couvrait de compliments sur ce qu’il voyait et convoitait. Nous faisons donc connaissance. Il reconnut celle qu’il avait contactée sur le site… Ce qui l’enflamma encore plus. Le prétendant continuait de me complimenter en m’enjoignant à le suivre. Pas familière des lieux, je lui répondis que j’allais m’imprégner un peu des lieux avant que de visiter les bas-fonds.

Ce que je fis… Ce club était situé en pleine ville; il occupait le rez de chaussée d’une maison patricienne du milieu du XXème siècle; cela devait être historiquement un sexe shop qui a fait évoluer sa vocation en s’agrandissant, car le rez de chaussée était en fait l’étage du club qui s’était agrandi en exploitant les sous-sol, jusqu’à communiquer avec la résidence voisine par les sous-sol.

C’est en visitant ce dédale, au décor mêlant les ambiances de caves d’immeubles de banlieue, d’underground gay et d’arrière-boutique de sex-shop ou vidéo-club que je dus constater être suivie non pas par 1 mais par 4 hommes désireux d’en découdre avec mes charmes.

Le principe d’un dédale, c’est d’être étroit, et peu éclairé… Au carrefour d’un escalier et de deux couloirs, l’endroit le plus large et éclairé du sous-sol, un de ces messieurs se planta devant moi et s’avisa de sortir son service 3 pièces au yeux et au sus de tous, en s’assurant que je ne pus m’empêcher que d’y faire face. Ce service était complet et s’annonçait fort envahissant… L’invitation était on ne peut plus claire. J’y donnai suite en m’accroupissant sur mes talons, et en enveloppant ce dard puissant entre mes mains pour l’amener à mes lèvres…

Deux hommes regardaient en se rapprochant de la scène et le quatrième dégrafa son pantalon à son tour. Il en sortit un membre tout aussi généreux; c’était mon petit Monsieur qui entendait bien avoir droit à sa part du gâteau qui venait d’être servi…

Je me trouvai donc très vite avec une queue en bouche et l’autre en main; deux queues fort généreuses en taille et en diamètre. Les deux autres acolytes de circonstance plantés à côté des deux queues sur pattes fermaient le cercle. Certainement moins bien pourvus, ils gardaient leur tension dans leur pantalon et restaient spectateurs. Dans la meute, les codes hiérarchiques se mettent en place de façon innée; comme dans la nature animale à laquelle nous appartenons pleinement, le prédateur a le dessus sur la proie… et l’alpha a la priorité sur ses congénères.

Il n’y avait aucun doute sur quel était mon rang; je fus donc copieusement embouchée par ces deux membrés, tout fiers de pouvoir montrer à quel point ils maîtrisaient leur affaire et à quel point ils dominaient leur sujette du moment. Devenus à ce point complice pour ce moment de plaisir salivaire, qu’ils se rapprochèrent l’un de l’autre… où était-ce de mon fait en me faisant plus poignante sur la queue que je branlais pendant que je suçais ardemment l’autre ? je ne sais plus, mais je me rappelle très bien avoir eu ces deux monstres en bouche simultanément, m’écartant outrageusement les commissures, mes mains agrippées à chacune de leur base pénienne pour maintenir un équilibre autre que buccal, perchée que j’étais sur mes hauts talons.

Je dois reconnaître avoir ressenti de la fierté d’être ainsi devenue une chair dévolue à deux queues devant un comité qui s’était élargi. Une demi douzaine de voyeurs s’étaient réunis autour de moi, formant une sorte de bande organisée, je pensais que j’allais devoir assumer bien plus que ce que j’avais assumé jusqu’ici en la matière.

Mon premier étalon commença à montrer des signes manifestes et avancés d’excitation; je passais maintenant d’une queue à l’autre me faisant tantôt enveloppe labiale, tantôt masseuse linguale, variant autant que je pouvais les rythmes et les pressions; ce qui devait arriver arriva, mon vigoureux étalon se lâcha en un râle profond de satisfaction à mesure que son outre se vidait entre mes lèvres;

J’eus droit au qualificatif qui honore une personne de mon rang quand elle se trouve ainsi intérieurement crépie :

« Ah tu suces à merveille… Tu es vraiment une bonne salope ! »

Je remerciai à mon tour mon chevalier déversant et choisis de me redresser avant que d’être condamnée à demeurer ad aeternam ainsi accroupie faute de pouvoir me relever… mes genoux me pardonnant de moins en moins ce genre de courbettes… En l’occurrence, ce sont les seuls à s’en plaindre…

Sentant un intermède, le groupe se disloqua à l’exception de mon petit Monsieur qui me prit par le bras, la queue encore toute vigoureuse, bien décidé à faire de moi ce qu’il avait envie d’en faire…

Il m’attira dans une alcôve matelassée qui pouvait se fermer, se munit d’un préservatif, me fit me coucher de côté et reprit ce que la jouissance de son prédécesseur avait interrompu : une fellation en bonne et due forme qu’il entendait mener à sa guise.

Debout à côté de la couche, son beau membre, épais en son milieu, faisait preuve d’une dureté impressionnante et écartait donc mes lèvres à mesure qu’il me pénétrait la bouche. L’homme était résistant et prenait plaisir à travailler mes profondeurs en me maintenant la tête des deux mains. Cet envahissement ferme et profond provoquait en moi des hauts le coeur que je peinais à réprimer.

S’étant rassuré sur la fermeté de son outil de travail et sur son état d’excitation, il me fit placer sur l’angle de la couche matelassée, ajustant mes fesses juste au-dessus de l’angle du matelas. Il me fit replier les jambes, en souleva une pour que je me présente écartée, ce qui lui garantissait une vue sur mon clito autant que sur ma chatte, sur laquelle il avait plus qu’une vue par ailleurs…

S’étant encapuchonné, j’eus à peine le temps de me lubrifier que je sentis ma jambe gauche s’élever dans les airs prises ainsi par les deux mains de mon maître-queue à venir; la partie dites de jambe en l’air commença; Monsieur, sans l’ombre d’une hésitation, s’assura que je n’étais pas une petite joueuse en entrant sans frapper… ce qui fut en l’occurrence paradoxal, car mes chairs, elles, claquèrent dès la première entrée en matière. Ce qui ne manqua pas de me faire couiner de surprise et d’un décontenancement lié au fait que ma chatte n’avait pas encore été déflorée ce soir-là.

À nouveau rassuré sur le fait d’avoir pu faire sa place à convenance dans mon intimité, mon petit homme se prouva grand dans sa capacité à m’enfourner; il y allait de puissants allers-retours en me gratifiant du fond de ses pensées;

« Tou es belle ! »

« Tou e oune vrai poute »

Son accent espagnol rajoutait à l’exotisme de sa queue vraiment vigoureuse. Maintenant qu’elle avait fait sienne mon antre, je la ressentais aussi agréable qu’il devait trouver savoureux de me tringler à qui mieux mieux.

Monsieur se mit à passer de ma bouche à ma chatte et vice inversé pour faire durer le plaisir.

Il sembla finir par admettre que jouir était une bien belle façon que de s’approprier les faveurs d’une femelle de mon genre. J’en fus ravie. Sentir ou voir l’éjaculation de son prétendant inonder mes chairs est toujours la preuve que la chair à plaisirs s’est rendue digne de son rang.

Depuis, mon petit homme est devenu un habitué de mes faveurs et de mes intimités et Monsieur a pris plaisir de prendre ses quartiers occasionnellement mais régulièrement dans mes intimités. Il prend aussi le même plaisir que moi à me considérer comme sa pute depuis quelques années maintenant, pute qu’il lui arrive de récompenser au-delà de l’offrande de sa belle queue.

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