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Gouinage au Soleil
1ère partie
Une belle journée d’été s’était fait jour. Je connaissais Katia d’une rencontre quelques temps auparavant, lors de laquelle nous avions apprécié nos inclinations respectives. Je m’étais rendue chez elle toute apprêtée au grand jour, en pleine ville, dans un quartier somme toute tranquille.
Nous avions fait connaissance dans son petit nid et avions profité de qui nous sommes. Katia est une femme adorable à la peau lisse qui, avec douceur, aime faire usage de son intimité qu’elle a fort avantageuse.
Cette connivence des plus complémentaire ne pouvait qu’éveiller mon désir de me sentir femme en sa compagnie
C’est donc ce jour-là qu’elle décida de me convoquer pour une sortie en filles au bord d’une rivière et profiter ensemble de ce que le soleil et nos chairs de travesties complices et gouines avaient à nous offrir.
L’idée et la perspective étaient alléchante.
C’est donc vêtue d’une petite robe d’été, d’un maquillage léger vu la chaleur du jour que je me rendis au lieu de rendez-vous fixé par ma chérie. Pour mettre mes jambes en valeur je mis des chaussures blanches à hautes semelles compensées…
;Sur place, je réalisai très vitre que les chaussures à semelles compensées n’étaient pas une idée extraordinaire contextuellement parlant… il fallait marcher plus de dix minutes sur un chemin, puis un sentier caillouteux.
Je n’avais pas besoin d’un tel prétexte mais ce fût l’occasion de marcher au bras de ma chérie et de perfectionner mon équilibre et mon déhanché féminin…
La rivière faisait un large coude autour d’une anse dégagée et sabloneuse, parsemée de jeunes pousses d’arbres, offrant ainsi de nombreux petits coins plus ou moins intimes selon ce qui en était attendu.
Notre envie n’était pas tant de nous montrer que de nous sentir gouines au soleil, en offrant nos corps et nos chairs à ses chauds rayons. Un petit nid trouvé, nos peaux mises à nu, nos serviettes étalées et recouvertes de nos nudités nous pouvions être toutes à notre état de travesties et gouines assumées. Nos peaux furent visitées par les mains de chacune pour nous crémer de sorte que ces moments idylliques ne se transforment pas en calvaire.
Installées, nous savourions le fait de pouvoir nous prélasser ainsi totalement ouvertes à notre féminité, notre totale nudité offerte au grand jour et toutes vouées à la perspective déjà en partie avérée de pouvoir nous comporter comme deux lesbiennes amoureuses.
Allongées au soleil, il nous vint assez vite l’envie de nous sentir fusionnelles; Couchées côte-à-côte, assez vite, nos mains entrèrent en contact l’une avec l’autre, puis se firent caressantes sur ce que nous pouvions atteindre de l’autre. Katia se mit sur le ventre, et j’en profitai pour laisser glisser mes doigts et ma main sur ses fesses, douces et galbées. Un moment qu’il était bon de prolonger en rêvant à tout ce qui peut nous passer par la tête en une pareille occasion.
Ce petit manège prolongé dans le temps, fit se retourner ma chérie, qui décida de faire face au soleil. Mes mains découvrirent que la raison n’en était pas nécessairement le besoin de lui faire face, mais de laisser la turgescence de son clitoris s’exprimer pleinement.
La relation de cause à effet de mes caresses sur les fesses de ma complice me combla d’aise. Je me sentis investie du désir de prolonger cette rectitude en l’enveloppant de ma main et en lui imprimant de doux va-et-vient pour que sa vigueur s’exprime encore plus fièrement.
De mon côté, une telle manifestation éveilla tous les sens qui me font sentir femme et femelle. Je ne résistai plus longtemps à l’envie d’honorer le gros clito de ma chérie en l’encapuchonnant de mes lèvres et pouvoir ainsi lui prouver à quel point elle était désirable, et à quel point j’avais envie de la satisfaire en me démontrant dédiée à son plaisir.
Plaisir délectable s’il en est que de pouvoir exprimer son désir et envie de se vivre gouine de la sorte. Je me repaissais de cette chair turgescente, envahissante, aussi gourmande de ma bouche que je pouvais l’être de sa présence en moi.
(à suivre)