ToutePourvous :
Mise à l’abattage
2ème partie
Après que j’eus satisfait et essoré une demi-douzaine d’hommes en rut, Monsieur eut l’envie que je change de tenue, sûrement pour se donner l’impression qu’il allait visualiser et « shooter » une femelle différente. Je m’y attelai et en profitai pour changer de perruque ce qui allait ajouter au dépaysement visuel de Monsieur.
Il était cependant clair que les règles du jeu ne changeaient pas. Je me devais de les respecter « à la queue de la lettre » pour ainsi dire. Dévouée aux queues présentes par tous mes orifices intimes, sans limite de temps et jusqu’à satisfaction de tous les hommes qui se présentent.
S’étant rassuré jusqu’ici sur mes bonnes prédispositions, Monsieur décida de me lier les mains dans le dos, rendant mon statut de « Salope & Soumise » offerte on ne peut plus clair aux yeux des nouveaux arrivants. Il avait peut être jugé que seules mes qualités de salopes avaient été sollicitées jusqu’ici…
Profitant d’un temps mort, Monsieur vint profiter de sa Soumise. Il m’intima de le prendre en bouche sans considération du temps que j’avais passé à sucer jusque-là… Quoi de plus normal me direz-vous vu mon statut !
Bien Erika ! Tu ne t’imagines pas pouvoir négliger ton hôte !
répliqua-t-il, sentant que mes mandibules montraient quelques signes de fatigue.
Comme vous le constaterez en toute fin de vidéo, Sa tournée introspective n’allait pas se limiter à mes mandibules et à la bouche qu’elles peinaient à maintenir close…
Son plaisir fût uniquement interrompu par la énième sonnerie de téléphone qui annonçait ma énième mise en bouche et ma énième saillie…
Présentée entravée, une soumise doit s’attendre à être baisée sans ménagement. Telle ne fût pas ma surprise que de constater que certains en profitèrent pour suçoter mon clito. Est-ce parce que nombre de mes consoeurs mettent un point d’honneur à ce que leur clito soit ignoré, voire encagé ? Cela m’arrive également puisqu’une fois femélisée, je ne ressens aucun besoin de bander ou de jouir de façon masculine.
En l’occurrence, je n’avais aucun moyen de manifester quelque opposition aux intentions qui m’étaient ainsi démontrées.
J’entendis vaguement qu’une travestie était arrivée et s’apprêtait. Monsieur avait donc le désir de m’investiguer sous toutes les formes…
J’étais toujours entravée en train de sucer mon énième partenaire de l’après-midi, quand la miss me rejoignit sur le lit.
Je n’eus pas l’occasion de lui dire bonjour. Mon soupirant du moment ne désirant pas me voir abandonner son vit, même pas pour être polie, et certainement pas enclin à me voir tailler une bavette avec la copine en question plutôt que d’honorer sa queue qu’il s’appliquait à maintenir bien au fond de ma bouche.
C’est autour de sa queue que nous nous saluâmes oralement et buccalement, plutôt que verbalement. C’est 1ère fois qu’il m’était donné de faire le connaissance de quelqu’un ainsi. Même les sauteries les plus brèves et sauvages commence plutôt par un « Bonjour »
Le profiteur eut le plaisir d’avoir d’un coup d’un seul deux salopes pour le prix d’une; et parler de prix en la circonstance est très abusif…
Arrivé la fin de journée, j’en avais vu, sucé et reçu de tous les formats, des grands, des minces, des petits, des gros, munis de grosses queues ou de petites, de tous les âges, tantôt par deux, tantôt seuls, tantôt sûrs de leur fait voire hautains, dominants, d’autres presque timides ou désireux de tomber amoureux. Ces derniers me câlinaient tendrement et restaient en ma bouche aussi longtemps qu’il leur était possible, même après avoir joui, ne cédant leur place que pour la faire au nouvel ou aux nouveaux arrivants.