ToutePourvous :
Week-end Mise en Immersion (4/4)

4ème partie

Préambule : Pas de photo ou vidéo de cette partie étant donné le contexte particulier dans lequel, elle s’est déroulée…

Après m’avoir sortie en ville et m’avoir fait m’assumer dans un tripot homosexuel, Monsieur nous ramena à sa voiture et décréta que la nuit étant avancée, il voulait me faire et me voir évoluer en extérieur… toujours affublée des restes de sa jouissance sur mon visage qui était en train de sécher et de son goût en bouche, agréable par ailleurs; cet état qui me maintenait immergée dans ce que je venais de vivre.

Il nous conduisit en un lieu réputé pour ces fréquentations nocturnes et libertines… C’est un grand parc arboré dédié aux activités de loisirs et de nature, agrémenté de points d’entrée multiples et d’autant de zones de parking. Nous croisions de temps à autre un véhicule roulant au ralenti et à cette heure-là, certainement conduite par l’un ou l’autre mâle en manque de satisfactions charnelles…

Monsieur jeta son dévolu sur un parking habité de quelques voitures garées à distance respectable les unes des autres… Manifestement le résultat de personnes ne se connaissant pas… en quête de connivences complémentaires ?…

Monsieur jugea que le chemin qui s’échappait dudit parking dans le noir serait un bon point de départ, pour m’afficher et promener sa chienne… A cette heure-ci, quels autres desseins pouvaient servir une promenade ? je vous le demande !…

A peine sortie de la voiture, Monsieur me fit remplacer mon manteau par ma jaquette longue et s’assura que l’ouverture ne cacha rien de mon entre-jambe; ma robe à larges mailles ouvertes s’arrêtant à ras mes fesses, elle ne masquait en rien le petit triangle de voile transparent qui me servait de string…

Monsieur décida que dans ce noir, il fallait rendre ma condition encore plus explicite et plus visible… il me fit enlever mon string, ce que je ne fis qu’avec peine, perchée que j’étais sur mes hauts talons à semelles compensées; je ne trouvai mon salut qu’en m’appuyant sur lui et me retrouvai le clito à l’air, ma mini robe étant trop courte pour le recouvrir…

Non content de cette tenue que je trouvais pourtant plus que provocante, Monsieur se mit en tête de forcer le trait en m’affublant d’une lourde cage de chasteté métallique, qui devait réprimer toute forme d’expression masculine en plus d’asseoir un peu plus mon statut…

L’harnachement faisait ressortir de façons outrancière mes deux orphelines et bien qu’emprisonnées, ces chairs ainsi présentées, n’avaient plus rien d’intimes…

Paradoxalement, ainsi encagée, je n’avais plus aucune possibilité d’occulter la vue de cette proéminence composée de chair et de métal qui était ainsi exposée sans rémission possible, ma mini robe n’ayant aucune opportunité de la recouvrir. je pouvais faire tous les efforts de féminité que je voulais, j’étais exhibée pour ce que j’étais : une femme à clito… Aucune illusion, même furtive, n’était plus permise sur le sujet.

De surcroît, en marchant, cet assemblage était à ce point volumineux qu’il se mettait à se balancer de gauche et de droite telle un carillon d’église, dont les cloches étaient inexorablement entraînées vers plus d’effets de balancier à mesure que mes cuisses se déplaçaient alternativement à chacun de mes pas.

Corollairement, ma robe, telle une rebelle, remontait bien au-delà de ce qu’elle était censée recouvrir et laissait entrevoir mes commissures fessières au verso de ma personne…

Monsieur n’en attendait pas moins… il releva le bas de la jaquette pour vérifier que mes arrières seraient ainsi présentés et affichés le moment venu, autant que l’était mon côté face qui lui, exhibait ostensiblement mon clito encagé, transformé pour l’occasion en étoile du berger lorsqu’il se trouvait exposé à une lumière, étoile scintillante et brillante vers laquelle convergeraient naturellement tous les regards me disais-je…

Nous voilà partis, la chienne au bras de son maître, cheminant le long d’une allée sombre à la fraîcheur de la nuit automnale… Je m’attachai à marcher le tête haute, le corps droit, faisant ressortir ma croupe, aidée en cela par la hauteur de mes talons, adoptant du mieux que je pouvais une démarche chaloupée, à l’aide de petits pas lents pour me rendre la plus féminine possible et montrer à quel point je n’avais aucune pudeur à ce que mes formes soient explicitement mises en exergue… puisque telle semblait être la volonté de Monsieur.

Monsieur me quitta pour marcher quelques pas en avant…, je le devinai se retourner vers moi, et soudain un jet de lumière sorti d’une petite mais puissante lampe de poche, déchira la nuit en me mettant sous les feux de la rampe… je devins étoile au milieu de la nuit…

Ce soudain éblouissement rendit ma démarche mal assurée.

Pfff… Être à l’aise dans le noir était une chose… là, on devait me voir loin à la ronde… Je perdis un peu de ma superbe et tâchai de ne rien en laisser paraître…. Pas dupe, Monsieur m’ordonna de me faire la plus lascive possible tout en marchant… Nous déambulions ainsi tantôt dans le noir, tantôt à la lumière aveuglante de sa lampe… j’avais en l’état pour seul défi de ne pas trébucher tout en me donnant de la peine à montrer celle que je devais être…

J’entendis des bruits de pas venant en sens inverse… Une dizaine de mètres devant Monsieur… je l’entendis :

« Bonsoir ! »

Le bonsoir lui fut rendu et Monsieur d’enchaîner :

« En quête ? »

L’homme lui répondit :

« Cela dépend… »

Monsieur répondit en projetant le faisceau lumineux dans ma direction en précisant :

« Cette femelle a décidé de me prouver qu’elle était digne de son rang… »

Je fis mine de me protéger du rayon lumineux par une gestuelle des plus lascives…

« Uhmm intéressant… »

entendis-je en retour… Monsieur compléta :

« Erika, amène tes fesses et ta bouche par ici et viens t’offrir aux envies de Monsieur ! »

Je me présentai à L’homme

« Bonsoir Monsieur… »,

qui se mit aussitôt à palper mon paquet encagé… en ajoutant :

« Donc comme cela, tu veux prouver à ton maître que tu es capable de te soumettre à ses ordres ?! »

« Oui Monsieur ! »

lui répondis-je sur un ton feignant l’assurance. L’homme alla s’appuyer sur un banc qui se trouvait à proximité et de me lancer :

« Alors viens oeuvrer et sois convaincante ! »

L’homme était grand, la quarantaine, silhouette sportive, poilu. Je m’accroupis et m’attelai à ouvrir le ceinturon de son pantalon, puis sa braguette; et là, je réalisai que celui-ci savait pourquoi il venait ici à cette heure… Il n’avait pas de sous-vêtement, sa queue en voie d’érection jaillit à mes lèvres. Je la pris goulûment en bouche et entièrement; j’aime ce moment où la queue est en train de se durcir et de grossir sans être dure ni molle… un entre-deux qui gonfle entre mes lèvres et trouve doucement son chemin au fond de ma gorge, ma langue s’afférant comme pour mieux épouser ce corps étranger devenu soudainement très familier…

Cette queue était très confortable en bouche car moins volumineuse que celle de Monsieur et correspondait parfaitement à ce que ma bouche pouvait offrir.

L’homme clamait sa satisfaction et félicita Monsieur d’avoir à disposition une femelle aussi bien rodée…

Monsieur répondit :

« Oui c’est le mot juste. Ce soir, elle est en rodage ! Elle est en stage et va devoir assumer pendant tout le week end son rang de femelle dédiée aux plaisirs. »

L’homme répondit par un :

« Ah ouaaiiis ! » admiratif.

Cette confirmation le libéra et il se mit à me baiser la bouche avec ferveur en me traitant verbalement de ce que j’étais forcément devenue à ses yeux…

Après avoir posé la lampe sur le banc, Monsieur me souleva la croupe en ayant introduit un de ses doigts dans mon anus pour me soulever tel un palan l’aurait fait, et me fixa à bonne hauteur, ma bouche toujours pleine des chairs intimes de l’homme.

Ainsi présentée, sans doute excité par le contexte qu’il était en train d’orchestrer, Monsieur retrouva de la vigueur après m’avoir fécondée buccalement une heure plus tôt (lire la troisième partie…). J’étais aux anges de voir que j’étais devenue un sujet d’excitation permanent pour lui. En conséquence, il replanta son immense dard dans ma chatte anale et se mit à nouveau à me tringler de plus belle. Dans la nuit, seuls les claquements de mes chairs et mes jappements de femelle enfournée recto-verso faisaient écho au silence ambiant. Vinrent s’ajouter les râles et les commentaires salaces de mes hôtes intimes qui décidèrent d’intervertir les rôles.

Juste le temps de s’encapuchonner, l’homme prit possession de mes entrailles en de vigoureux va-et-vient; les deux appréciaient à sa juste valeur ce qui leur était offert. J’en ressentais une agréable impression de reconnaissance de mes qualités de chienne, puisque c’était ce que Monsieur voulait faire de moi en cet instant…

Monsieur, tout en travaillant à assouplir ma cavité buccale, intima à son compère de circonstance

« Tu l’astiques bien jusqu’à ce que tu jouisses et tu viens te soulager sur son visage… Cette salope a déjà reçu ma semence tout à l’heure… Je veux qu’elle réceptionne ce qu’elle provoque et reste dans cet état ensuite ! »

« Ouaouh Cool ! »

entendis-je de l’homme qui commençait à s’essouffler de bonheur…

Tout à celui-ci, il m’astiquait tant et plus, jouissant de chaque instant qui lui était ainsi offert de pouvoir donner libre cours à son instinct animal, habité du sentiment avéré de concrétiser un ascendant pervers sur celle que je suis. Il se retira vint se planter devant moi. Monsieur prit la lampe et la dirigea dans ma direction. Je l’entendis juste m’ordonner :

« Ouvre bien ta bouche Erika ! »

Et dans un grand soupir de satisfaction, l’homme se déchargea sur moi. Le premier jet abondant (il n’avait pas dû jouir de la sorte depuis quelques jours, semaines ?…) inonda ma bouche, les suivants se répartirent sur mon nez, mes joues, mes lèvres… venant ajouter une deuxième couche au premier masque de Monsieur.

Étonnant cette capacité de certaines personnes, dont je fais partie, de pouvoir retirer du plaisir à se sentir asservie et humiliée de la sorte; plaisir de surcroît strictement cérébral, puisque d’érection et d’éjaculation de ma part, il n’y a jamais en pareille circonstance.

« Voilà Erika ! En bonne délurée que tu es, tu vas garder cette semence en bouche. Tu la compléteras de ta salive avant de l’avaler ! Regarde-nous bien dans les yeux et reste ainsi ! »

Plantée en contre-jour, je ne voyais absolument rien d’autre que le rayon aveuglant de la lampe-torche. Je me contentai d’obéir aux volontés exprimées en sentant le sperme déversé dans ma bouche doubler de volume par l’adjonction de ma salive…

Tout acquis au spectacle, j’entendis Monsieur me signifier :

« Ouvre ta bouche ! Montre-nous que tu sais savourer le sperme de mâles.

Dans l’impossibilité de sortir quoi que ce soit d’intelligible, Monsieur trouva là un bon moyen de me réduire à l’obéissance.

Il ajouta :

« Erika, pour ce que tu n’avales pas, tu ne te nettoies qu’avec ta langue si cela coule ! Je veux que tu t’affiches telle que tu t’es vécue ce soir ! »

Cette interpellation qui demandait une confirmation de ma part me fit avaler tout le contenu gluant accumulé dans ma bouche. Je ne pus répondre dès lors que par un

« Oui Monsieur »

des plus gouleyants. Et en bonne femelle, je remerciai l’homme pour sa générosité, ce qui ne manqua pas de faire couler sur mes lèvres le sperme déversé sur mon visage; je le récupérai d’un balayage de langue pour ne pas souiller mes cheveux ou ma tenue; mon maquillage lui devait être ruiné au vu de ce que je ressentais du sperme sec de Monsieur et de celui, frais, de mon éjaculateur du moment…

L’homme prit congé et nous poursuivîmes notre promenade plus avant sur les mêmes bases que précédemment. Monsieur était visiblement satisfait de la tournure prise par les événements. Je prenais de plus en plus conscience de faire vivre de façon très explicite une part de ma personne que je me révélais à moi-même.

Le contexte avait quelque chose de peu rassurant; avancer dans ce silence noir me donnait l’impression d’avancer dans une sorte de coupe-gorge ! je m’attendais à chaque instant qu’une horde rugissante surgisse de ce noir béant pour nous sauter dessus… Vu trop de film la femelle…

Pourtant, quelques minutes plus tard, nous perçûmes de loin en loin des voix d’hommes et des éclats de rire…

Je m’entendis suggérer à Monsieur :

« Oh Mon dieu… ! Monsieur, est-ce bien raisonnable, à cette heure, dans un lieu pareil ?… »

Le bon dieu serait sûrement le dernier à me venir en aide le cas échéant…

Il me répondit :

« Que crains-tu ?! de te faire violer… ?! »

s’exclama-t-il en éclatant de rire…

« C’est en effet un risque que je te fais courir !… »

Un tel aplomb me scotcha et j’en fus réduite à reconnaître qu’en me livrant à son bon vouloir pendant un week-end aussi explicitement que j’avais pu le faire, il ne me restait rien d’autre à faire que d’en assumer les incertitudes…

Monsieur jouait de la lumière de temps à autre… J’étais tétanisée au point d’en oublier d’évoluer en mode femme et femelle… Monsieur me remit à l’ordre d’une claque sur les fesses.

Les voix se faisaient plus proches…

Monsieur décida de me faire marcher à quelques mètres de lui, de côté, faisant en sorte de me laisser quelques mètres en retrait de sa personne… Les voix venant de la gauche; il se tenait sur ma droite… et il décida d’allumer la lampe et de la laisser allumée, braquée sur moi. Les voix se faisaient plus distinctes… Ce qui devait arriver arriva… Une voix interpella ses compères en s’exclamant face à ce qu’il distinguait au loin dans le faisceau de lumière…

« Oh putain mecs ! je kiffe c’que je vois »

entendis-je clairement.

L’enthousiasme perçu se traduisait par force onomatopées agrémentées d’expressions éthyliques. Je me sentis brusquement déposée sur une scène devant un public sans savoir quoi faire, j’interpellai Monsieur que je ne distinguais pas, caché qu’il était derrière sa lampe-torche :

« Monsieur ?… »

« Contente-toi de te montrer telle que tu dois, plus tu seras crédible et motivante dans ton rôle, mieux cela se passera ! »

l’entendis-je me répondre…

Toujours sous les feux de la rampe (sans tapis rouge…), tout en marchant, je me mis à onduler de la croupe du mieux que je pouvais… je passai langoureusement mes doigts dans mes cheveux d’un geste lent comme le ferait une allumeuse de cabaret après s’être installée sur un siège de bar et avoir croisé ses jambes en dévisageant son parterre d’yeux ébahis…

Le groupe se déplaçait très clairement dans notre direction et s’approchait… nous pouvions maintenant, dans le silence ambiant, très clairement comprendre leur propos… À entendre le nombre de jurons proférés par phrase et la nature des dialogues, cela fleurait plus le groupe de rebeux, que la concentration de poètes… Il faut dire que ce qu’ils distinguaient et observaient, semblait à l’évidence motiver le contenu de leurs échanges qui n’avaient rien de l’extrait d’un livre de Prévert…

Arrivés à hauteur d’un banc similaire au premier, Monsieur m’ordonna de m’arrêter, de me pencher pour m’y appuyer à son extrémité et de mettre bien en évidence ma croupe, jambes tendues et écartées, dos cambré et tête relevée.

« Oui Monsieur… »

Je me trouvai ainsi flanquée, de profil, toujours sous les feux de la rampe… le groupe qui arrivait à pied d’oeuvre se faisait encore plus bruyant, chacun s’exprimant en même temps…

Je distinguais des :

« Oh putain ! »

« T’as vu c’te Tepue ! »

« Hey Man, C’est à toi c’te viande?! »…

Et là, j’entendis un des protagonistes qui s’était planté à côté de moi s’exclamer à la vue de ma cage :

« Oh putain mec ! C’est une putasse de trav ! »

Arrivés à ma hauteur, un, mieux outillé visuellement, ne tarda pas remarquer un détail croustillant :

« Mais elle est déjà souillée c’te truie ! »

« Sans rire, ça craint ! »

Juste avant qu’ils ne se donnent le droit de venir à moi et d’en venir à je ne sais quoi, Monsieur intervint !

« Ohhh là les gars ! Tout doux ! C’est selon mes règles ! »

Et des jurons de sortir de la bouche des effarouchés autant que des enthousiastes… Il étaient cinq, jeunes, canettes de bière à la main comme les soldats d’antan tenaient leur fusil à baïonnettes…

Et Monsieur de poursuivre :

« Si elle vous plaît, je la mets à disposition aux conditions suivantes :
Point 1. C’est une salope qui doit me le prouver. Elle a les avantages d’une femme sans les inconvénients ! Elle ne rechignera pas à la tâche si vous la baisez et l’enculez !
Point 2. Bouche et cul à disposition. Aucune violence !
Point 3. Pénétrations anales protégées et anus lubrifié. Il y a ce qu’il faut là ! » dit-il en déposant préservatifs et lubrifiant sur le banc…

S’ensuivirent des échanges dissonnants entre les protagonistes sur les arguments pour et les contre… cela allait du : « j’ai jamais fait avec une trav… », « Elle est belle, mais c’est un mec… » dit l’un en désignant aux autres ma cage… », le suivant de répondre : « C’est l’occasion d’essayer, personne n’en saura rien au moins ! »

Trois étaient chauds bouillants, les deux autres avaient des valeurs morales qui les laissaient sur leurs pattes arrière.

Monsieur éclairait cette scène un peu surréaliste ou une bande très sûre d’elle se liquéfiait peu à peu face à la concrétisation d’une opportunité vraie, scène qu’ils avaient dû aborder jusqu’ici qu’entre eux et qu’au travers d’un humour lourd et de rires gras en parlant de ce que leur meuf leur refusait légitimement…

Monsieur, en témoin sûrement amusé par la scène, tâcha de remobiliser les troupes :

« Bien les gars ! vous croyez pas que vous avez mieux à faire que de palabrer, Allez tâtez sa chair… elle est aussi lisse qu’une femme, aussi goulue qu’une femelle et ouverte qu’une chienne ?! »

dit-il en palpant mes fesses de façon péremptoire.

Le bougre savait de quoi il parlait. Il vantait mes qualités comme si je faisais partie de ses meubles depuis toujours alors que je n’étais qu’une intention encore quelques heures auparavant… Il est vrai qu’il avait fait du chemin quant à se faire une opinion sur ce qu’il avait commencé à faire de moi depuis…

C’est connu, un groupe a toujours besoin d’un leader pour fonctionner… la suggestion étant venue d’une autorité extérieure au groupe, aucun n’avait du coup à porter la responsabilité de ce qui allait s’ensuivre au sein du groupe; et cela se vérifia… le groupe, comme un seul homme, était en train de se comporter comme un troupeau de moutons de Panurge : aux ordres…

Un premier s’approcha et se mit à me palper mes fesses tout en se massant la queue à travers le pantalon, attendant que celle-ci durcisse pour en faire état plus ostensiblement.

Je me tournai face aux deux qui, plantés devant moi se débraguèrent; les deux derniers restaient de côté aussi dubitatifs que contemplatifs.

Monsieur, assis sur le dossier du banc éclairait la scène… le groupe se fit beaucoup plus silencieux, concentré qu’il devenait sur l’objectif charnel mis à leur disposition.

Je me trouvai très vite avec une queue en bouche, d’une taille plus que raisonnable, fine, dure, pubis épilé… celui-là ne récitait pas le coran à longueur de journée me dis-je. Je branlai le second dont la queue se raidissait à peine, attendant certainement mes chaleurs buccales pour se raffermir.

Monsieur encouragea ceux qui étaient restés en retrait :

« Allez-y !, Vous voyez bien qu’elle a une main libre ! »

L’un des deux vainquit ses doutes et vint occuper la seule place laissée libre d’accès en me proposant une queue encore molle.

Le deuxième rejoignit son compère à l’arrière; à deux ils se mirent à palper mes formes, remontèrent ma robe de manière à n’y voir que de la peau blanche, comme si j’étais une vierge, ma jaquette tombant sur le côté.

Après m’avoir palpée et gentiment fessée, comme le boucher le ferait d’une bonne pièce de viande dont il allait s’occuper, ils s’attelèrent à m’écarter les fesses et à me doigter tout en se branlant de leur deuxième main… le deuxième s’étant mis au diapason de son pote en ayant fait tomber son pantalon.

« Monsieur mit un peu d’huile sur le feu, qui avait déjà bien pris avec deux hommes à l’assaut de mes fesses, un dans chaque main et un en bouche. Il les chauffa un peu plus en disant :

« Allez les gars ! vous en avez toujours rêvé ! alors faites-moi tourner cette salope ! »

Autant vous dire que cela réveilla les ardeurs en présence. La salope se mit à couiner tellement elle se faisait travailler la bouche… J’avais rapproché les trois compères et je passais avec ferveur mes lèvres, ma bouche, ma langue et ma gorge d’une queue à l’autre, ne voulant pas décevoir les appels de Monsieur.

A tel point que j’en eu bientôt deux simultanément à engloutir entre mes lèvres.

Je sentis le contact frais d’un gel appliqué sur mon anus; c’était la démarche annonciatrice d’une conquête anale qui était sur le point de se concrétiser. Je sentis cette concrétisation faite avec douceur et une lente mais inéluctable pression visant à faire progresser la pénétration d’une queue dans mon intimité… Heureusement avec douceur, car ce qui se profilait semblait d’une grosseur déraisonnable… je sais gré à son propriétaire d’en avoir eu conscience et de ne pas m’avoir déchirée en envahissant les lieux… Cette queue était énorme ! je gémissais… entre douleur contenue, mon sphincter ayant eu le temps de se contracter depuis mes précédentes sollicitations… et bonheur d’être ainsi mise en situation de faire vivre au grand jour (enfin, en pleine nuit…) la chienne qui sommeillait en moi.

Mes gémissements étaient étouffés par les queues que je suçais; d’autant que j’avais pris l’initiative d’en rapprocher deux, une velue et la longue toute lisse, pour les gober simultanément…

Je ne pus réprimer un petit cri de femelle lorsque l’étalon de service invita mon sphincter à lui céder irrémédiablement… Mon étalon se sentit fier d’une entrée en matière réussie, et moi soulagée qu’il ait fait sienne mon intimité désormais ouverte à ses attentes. Il augmenta le rythme de ses allées et venues, très progressivement et tout aussi irrémédiablement. Sa virilité se faisait conquérante au point que j’en avais de la peine à rester cambrée. Je commençais à sentir ce que signifiait que d’avoir à assumer une queue de certainement plus de 22 cm par presque 6 au vu de mon ressenti…

Dans l’idéal, peut-être aurais-je préféré être préparée par les queues voisines moins impressionnantes… mais il aurait commencé par une mise en bouche jusqu’à la garde… ce que j’aurais considéré tout aussi délicat à aborder sans me faire vomir…

Il me labourait maintenant sans vergogne, me faisant me cabrer lorsqu’il était en butée et me laissant tendre ma croupe chaque fois qu’il se retirait….

Son comparse, peut-être tout aussi impressionné à la vue de cet outrage que moi à le ressentir, écartait mes fesses pour mieux profiter de la situation.

Et mon cheval en vint à venir, à sortir et à réentrer à chaque aller-retour, m’arrachant des sons venus du fond de mes entrailles autant que des gémissements de femelle assumée. Chacune de mes formes d’expression étaient contrées par les queues que je suçais goulûment désormais. J’en bavais au sens propre comme au sens figuré.

Mon étalon céda sa place à son compère qui n’en finissait pas de se branler pour maintenir son érection; il prit sa place avec frénésie… sa queue peinait à remplir tout l’espace travaillé par son prédécesseur et laissé libre d’accès. D’une taille très certainement honorable, je ne la percevais qu’à peine désormais; il pouvait donc à loisir faire claquer mes chairs…

Les langues se délièrent (enfin les leurs…) et chacun commentait à sa manière ce qu’il était en train de vivre, de voir, de ressentir, prenant ses compères en témoin.

« T’as vu c’te chienne ! ça s’peut pas ! »

« Ah putain ! trop bon ! »

« une vraie Tepue et gratuite »

« Trop cool de faire tourner ta chienne Man ! »

L’étalon mué en voyeur, échangeait quelques propos avec Monsieur… visiblement admiratif de sa capacité à posséder et à formater un être humain de la sorte. J’étais maintenant tringlée recto-verso par tout ce petit-monde, affairé à tirer un plaisir de l’opportunité que j’étais devenue; plaisir égoïste autant que partagé pour le coup…

J’entendis Monsieur :

« Alors Erika ?! Contente ? »

Deux queues en bouche à peine extraites, je marmonnai :

« C’est à vous de l’être de celle que vous faites de moi Monsieur ! »

« En effet, je te veux sans faille sur ce plan… »

« Oui Monsieur »

marmonai-je, réinvestie profondément par les chairs durcies en présence. Tournée était la juste expression car maintenant, chacun passait à tour de rôle de mes mains à ma bouche puis à mon cul, en recommençant la ronde quelques fois. L’étalon-cheval vint se joindre à la ronde, je n’étais plus qu’une chair pantelante qui ne devait son équilibre qu’aux deux queues qui la pénétraient recto-verso et à la tonicité de celles que je tenais en main.

« Bien les gars, faites-moi tourner cette petite chienne et recouvrez-la de vos jouissances ! »

s’exclama Monsieur.

Cela me remit en mémoire que j’avais déjà été arrosée deux fois auparavant et que le fruit de ces jouissances précédentes avaient séché sur mon visage… J’étais bonne pour me faire appliquer un énième masque de beauté dans les minutes à venir…

Je sentais désormais que chaque sollicitation anale et buccale se faisait plus frénétique. Ma bouche, mes deux mains et ma chatte servaient chacune des queues à tour de rôle; mes jambes tremblaient tant par la position que je m’efforçais de garder que par la permanence sodomite à laquelle je faisais face… mon sphincter était à nouveau totalement relâché et chacun pouvait à sa guise faire usage de sa virilité…

J’eus bien quelques passages délicats lorsque l’étalon de circonstance tenta de mettre ma bouche au niveau de mon cul… bien que goulue, je n’arrivais pas à laisser ce monstre de chair envahir mes muqueuses buccales jusqu’à sa garde… passé 20 cm, j’avais l’impression qu’il était en train de me fouiller au-delà de ma gorge. je me concentrais à bien respirer pour refouler des envies irrépressibles de renvois. Ce n’était pas le moment de faire retomber la pression ou les tensions hihi…

Cela devait durer depuis près de 20 minutes… peut-être plus; j’avais de plus en plus de peine à rester debout, chancelante devant tant d’animalité à force d’offrir mes chairs et de lutter contre l’affaissement de mes jambes… couiner et gémir étaient devenus mes seuls modes d’expression… Mon clito encagé et mes bourses prises au piège de la cage, déjà malmenés par la promenade et les assauts précédents de Monsieur et du mâle jouisseur me faisaient souffrir, se comportant comme de lourdes mamelles qui étaient secouées, répondant en cela à chaque pénétration, à chaque coup de rein qui m’était adressé…

Et depuis le temps que cela durait… j’avais dû être secouée un bon millier de fois; ces deux appendices, que je sentais aussi gonflés et durs que des cloches de cathédrale battant l’angélus, virevoltaient tant et plus autour de l’axe métallique qui les enserraient au-dessus de mon entre-jambes. Mes couilles, puisque c’est d’elles qu’il s’agit, à force de subir ces violences, devaient être devenues bleues, coincées et comprimées qu’elles étaient par le dispositif de ce piège métallique et les mouvements qu’elles encaissaient… elles souffraient et moi aussi du coup…

À l’énième tour, même le protagoniste le plus réservé initialement s’en donnait désormais à coeur joie, tenant mes hanches fermement pour mieux me prendre, à tel point qu’il se fendit soudain d’un gros juron suivi d’un long râle, signe évident qu’il venait de remplir son préservatif dans mon anus… Témoin de cette scène, Monsieur reprit la direction des opérations.

« Bien Messieurs ! il semble qu’il est l’heure de se faire du bien ! »

Il s’asseya sur le banc :

« Erika ! viens t’empaler sur ma queue ! »

Monsieur, assis, jambes écartées avait baissé son pantalon, sa queue redevenue raide dressée comme un pieu sur lequel en effet, j’allais m’empaler… Je fus remplie de sa chair.

« Penche-toi un peu pendant que je t’encule et offre ta face et ta bouche à la jouissance de ces messieurs ! Allez-y les gars ! elle est là pour ça ! Toi ! viens vider ton préservatif sur son nez qu’on le voit bien dégouliner sur son visage de pute ! »

Ce fût fait… et bien fait! cela inspira l’un des hommes à venir tremper son biscuit dans ce sperme et à glisser sa queue raide dans ma bouche. Il y oeuvra jusqu’à jouir puissamment, je laissai le fruit de sa jouissance dégouliner hors de ma bouche et sentis deux ou trois rasades recouvrir mes faux-cils et mes joues… À quoi allai-je ressembler après que tout le monde se soit soulagé sur moi ?!… une traînée asservie assurément!

Les autres mains s’activaient sur leur queue avec frénésie.

Monsieur me soulevait les hanches pour mieux me relâcher sur son vit qui pénétrait mes entrailles m’ancrant solidement en lui et soulageant de fait, mes jambes sur lesquelles je ne tenais plus debout…

Le second spermeur vint finir sa branlette sur mon visage et explosa de bonheur en souillant en peu plus la chair mise à sa disposition… Mon masque de beauté prenait forme…

Monsieur proposa à l’étalon de venir me finir… il acquiesça bien sûr… J’allais donc sentir ce pieux-là autrement plus que la queue pourtant très avantageuse de Monsieur… J’allais ramasser d’autant plus que mes jambes ne me portant plus, je n’aurai d’autre choix que de m’en remettre à ce gigantesque point d’ancrage, fixée uniquement par la grâce de la seule aptitude de mon anus à se dilater…

L’homme aussi athlétique que sa queue était bodybuildée, ne tarda pas à me faire rebondir sur sa queue comme une marionnette qu’on aurait lâchée sur un trampoline, m’arrachant des râles et des couinements que je ne pouvais contenir. Maintenue arc-boutée par le candidat suivant, tout à sa propre jouissance, qui exerçait son autorité en maintenant mon visage dégoulinant en face de sa queue, de laquelle perlait déjà le contenu gluant qu’il était prêt à faire jaillir sur sa cible… Ce qu’il fit… son liquide spermatique se répandit partout sur mon visage au gré des secousses qu’imprimait le vigoureux étalon…

L’antépénultième prit le relais… Il me baisait la bouche comme un forcené, alors même que l’étalon accélérait les rebonds qu’il imposait à sa marionnette pour faire monter son excitation à son paroxysme. Les deux devenaient haletants, tout à leur propre excitation. J’étais vraiment réduite à l’état d’une poupée de chair sur laquelle ces deux-là se défoulaient avec une énergie non feinte… J’avais le sentiment, mais en était-ce seulement un, de couiner en continu, à peine capable de reprendre mon souffle entre chaque sollicitation anale et buccale dont j’étais l’objet… A peine le premier m’eut-il gratifiée de sa jouissance que l’étalon m’assit énergiquement sur le banc et vint enfiler son membre dans ma bouche pour la remplir de ses premières rasades de sperme chaud; il finit son oeuvre en s’essorant sur mon visage, complétant en le masque de beauté du fruit de sa propre semence onctueuse… j’étais bel et bien crépie du sperme de tous mes prétendants du soir… je pris en bouche ces deux monstres de virilité, reconnaissante que je me devais d’être… mais détruite, paradoxalement vidée alors que je venais d’être remplie depuis quelques heures…

En se refringuant, le groupe félicita encore Monsieur, se montra reconnaissant de leur avoir donné l’opportunité de vivre une telle expérience de débauche, en lui offrant une canette de bière. Ils s’éloignèrent tout acquis aux commentaires de ce qu’il venait de vivre…

Assise sur le banc, je réalisais à peine que je venais de vivre l’expérience la plus forte et incroyable de mon autre vie; celle d’une travestie désireuse de progresser et de s’en remettre à une autorité cérébrale, sexuelle, débridée et perverse, en l’occurrence celle de Monsieur.

Monsieur dégusta sa bière et fier de son coup me lança :

« Alors Erika, Consciente de ton statut ? »

Je répondis, un peu hébétée par ce que je venais de subir et réduite à l’état de loque gluante :

« Oui Monsieur, pleinement consciente !… Si j’avais des doutes, je sais à quoi m’en tenir maintenant…, vous m’avez élevée au rang de celle que je souhaite faire vivre…

« Ouaouh ! vous m’avez cassée là ! j’ai vraiment reçu ! »

« Oui ! tu as eu au moins le mérite de t’assumer. Cela me plaît ! »

« Merci Monsieur ! »

Ayant fini de siroter sa bière, il enchaîna :

« Allons ! viens ! Nous allons rentrer ! »

Reprendre mes esprit fut peu aisé bien que le retour à la voiture fut calme; ma démarche moins hautaine qu’à l’aller, mon clito et ses gonades des plus douloureuses… Monsieur eut la gentillesse de me laisser lui prendre le bras et adapta sa marche à la mienne; chacun des impacts de mes pas sur le sol me ramenait à ce que je venais de vivre, le sperme dont j’étais recouverte dégoulinait, par dessus mes narines et mes lèvres… état que je devais laisser évoluer ainsi selon la volonté de Monsieur.

En dépit de mon maquillage, je sentais ma peau me démanger à mesure que ce blanc d’oeuf séchait au contact de l’air et cet ensemble devait me donner un air de déterrée…

De retour à la voiture, Monsieur me tendit mon gros rosebud en me demanda de m’asseoir dessus; ce que je pus faire sans encombre, étant dans l’incapacité complète de serrer les fesses pour les quelques heures à venir….

De retour, Monsieur me gratifia d’un debriefing. Il me confirma avoir été ravi d’avoir pu vérifier que j’étais à la hauteur de ce que je prétendais vouloir vivre et de m’être montrée digne de ce à quoi il aspirait en l’espèce.

Je le remerciai à mon tour pour l’autorité cérébrale et l’emprise qu’il avait su exercer sans faille sur moi… et, en me faisant aguicheuse, j’inclinai ma tête, lui présentant mon visage souillé, je le remerciai aussi de m’avoir offert toute sa virilité en déposant délicatement ma main à l’endroit de son trésor que je percevais renaissant à travers son pantalon.

Sentant que je me faisais irrévérencieuse, il mit sa main à mon cou pour me mettre bien face à lui comme il l’aurait fait d’un objet qu’il aurait voulu inspecter, contrainte à me tenir la tête haute face à lui, je l’entendis me dire :

« Oui ! tu es une vraie souillure en l’état ! »

dit-il en faisant glisser avec son doigt un paquet de spermer à mes lèvres.

« Nous allons finir le travail ! »

En changeant subitement de ton, il dit :

« Enlève tes cuissardes ! et mets-toi à poil ! et présente-toi à moi les mains dans le dos ! »

« euh… Oui monsieur ! »

Un peu déconcertée, je m’exécutai, me demandant ce à quoi je pouvais encore m’attendre… Monsieur allait-il m’attacher et me laisser ainsi toute la nuit ?, j’étais cassée, rompue autant que repue… j’espérais pouvoir aller me coucher et dormir…

Une fois dévêtue, et habillée que de la cage de chasteté et du rosebud toujours bien présent, je me plantai, tête basse, mains dans le dos. Monsieur, occupé à je ne sais quoi de son côté, me rejoignit et m’observant ainsi présentée, s’exclama :

« Oui ma chienne, puisque tu es une petite souillon, viens par là ! »

dit-il en saisissant mon intimité par la cage. Il m’entraîna en se servant de la cage comme d’un collier de soumise et d’une laisse pour me faire le suivre. Il me tira ainsi jusqu’à la salle de bain. Je réprimai les quelques cris que la douleur et l’inconfort de cette prise en main générèrent.

« Installe-toi dans la baignoire à genou, pieds relevés contre le bord opposé pour me faire face ! tu vas me prendre en bouche en prenant appui sur le bord de la baignoire ! »

Je m’exécutai; sa belle queue mi-érective prit place dans ma bouche. Aucun mouvement… Monsieur m’observait… il me sentait déglutir à intevalles réguliers, je me contentais de faire mienne cette queue, buccalement parlant, en titillant son gland avec ma langue… Soudain je sentis un liquide chaud et abondant envahir ma bouche; cela m’arrachai un gémissement de surprise et de dégoût… par réflexe, j’ouvris la bouche, un flot d’urine dégoulina de ma bouche et vint souiller mon corps et mes cuisses.

« Recule-toi petite souillon ! Mains dans le dos ! Bouche ouverte langue dehors ! et tu me regardes dans les yeux ! »

Le ton était le plus autoritaire que j’avais entendu de la part de Monsieur depuis notre rencontre.

Je m’exécutai sans broncher, m’attendant au pire. Monsieur, qui s’était retenu après cette première saccade…, ouvrit ses vannes et se concentra à m’asperger, prenant soin de me recouvrir de son urine, preuve ultime de ma soumission aux fruits de tous ses plaisirs… Il orientait sa queue de sorte que les jets vinrent asperger mon visage, réactivant la glue dont j’étais recouverte, s’amusant à viser ma bouche ouverte pour bien voir dégouliner son jus, me défiant du regard pour déceler si, oui ou non, il allait y percevoir une rebiffade, une révolte, un regret, une faille dans ma capacité à m’assumer en femelle soumise et asservie. Il finit par inonder l’ensemble de mon corps de son désinfectant… et finit par me prier de reprendre sa virilité dégoulinante en bouche…

« Et maintenant tu gardes ma queue en bouche et tu avales ! »

« Ohhh Monsieur !… »

peinai-je à balbutier… Je le suçai à nouveau; il me gratifia d’une ultime rasade que je dus avaler. Je réprimai avec succès une forte envie de vomir. Sa queue toujours dans ma bouche, il se tenait debout, fièrement, les mains sur ses hanches, avec le sentiment du chef militaire satisfait de ses troupes.

ll se retira de ma bouche ayant purgé les dernières gouttes des alcools qu’il avait ingurgité pendant la soirée et contempla ce qu’il avait fait de moi : une femelle totalement soumise dont le visage dégoulinait encore des spermes dont elle avait été recouverte et de son urine.

« Bien Erika ! Bien ! …Toutepourvous… tu t’es trouvé un pseudonyme qui est près de la réalité ! »

Oui Monsieur, j’en conviens d’autant plus après ce que vous m’avez fait vivre ce soir… »

ll pria la souillure que j’étais irrémédiablement devenue, preuve à l’appui, de se nettoyer, de se désinfecter et de se redonner figure humaine pour la nuit: il me rendit la clé de ma cage de chasteté et ajouta :

« Demain matin, quand je t’appelle, tu me rejoins, féminisée, apprêtée en nuisette, nue dessous ! Bonne nuit ! »

« Merci Monsieur. Bonne nuit Monsieur. »

Il était tard, nous étions que dans la nuit de vendredi à samedi; je compris que j’allais à nouveau devoir faire la preuve de mon rang dès les premières heures du jour…

Laissée seule, je restai un petit moment immobile, hagarde par ce que je venais d’assumer…

Je pris une bonne douche, me savonnai de fond en comble, bouche y comprise, me refis un lavement profond au savon doux et désinfectant pour me nettoyer de toutes ces visites… et me redonnai une allure humaine en prenant soin de me recrémer pour préserver ma peau de ce qu’elle avait subi. Le plus dur fut de me libérer de la cage de chasteté… mes bourses, rendues hyper sensibles et douloureuses par ce qu’elles avaient enduré, je ne supportais même plus de mettre un slip ou de les laisser pendre entre mes jambes. Inutile de vous dire que pour ce qui relevait du rosebud, il est sorti de son antre sans résistance…

j’enfilai une nuisette et m’allongeai sur le dos jambes écartées pour préserver mes parties… et pouvoir dormir en vue de ce qui m’était réservé le lendemain…

Inutile de vous dire que j’ai continué de sucer, d’être baisée et d’être souillée quelque fois dans ma tête bouillonnante avant que de pouvoir m’endormir…

Nous n’étions ensemble que depuis quelques heures, pas même une nuit… j’avais déjà l’impression d’être mise en immersion depuis des jours… et je m’étais engagée pour le week-end complet…

Après m’être refait le film des événements quelques fois, ma copine et gouine Morphée m’emporta avec elle dans son royaume de songes faits du vécu de cette nuit et peut-être faits des vécus à venir…

n.b. En effet, je fus mise à contribution dès le réveil et tout le week-end… Cela fera certainement l’objet d’un prochain texte illustré…

Toutepourvous alias Erika

Fin

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