ToutePourvous :
Week-end Mise en Immersion (3/4)

3ème partie
Après ce premier échec, Monsieur ne s’avoua heureusement pas vaincu; il avait un autre potentiel point de chute pour assouvir ses pulsions de mâle dominant et autoritaire.
À ce stade, le fauve ne faisait que faire déambuler sa proie dans les rues pavées de la vieille ville; ce qui ne manquait pas de faire se retourner le monde à l’heure des sorties des premiers services sortant des restaurants de-ci de-là auxquels s’ajoutaient celles et ceux qui allaient les remplacer dans les mêmes établissements.
J’étais naturellement scannée par tout ce petit monde, et tous ces regards traduisaient autant d’attrait, d’intérêt, de désapprobation, voire de dégoût face à ce que je représente…
Manifestement, au premier regard, et j’en retirais une grande satisfaction, je passais d’abord pour une pute bio, payée par l’homme qui m’accompagnait pour le satisfaire; ce qui n’était pas tout faux puisque à défaut d’être rémunérée, j’étais sortie et invitée… ce qui pour la travestie que je suis ne peut être que la reconnaissance d’une forme de crédibilité.
En conséquence, il m’appartenait de me montrer digne de l’impression que je dégageais. M’appliquant à calquer mon rythme à celui de Monsieur, je m’attachais à véhiculer dignement tout à la fois mon image et mes chairs aérées. Je m’appliquais surtout à ne pas choir au milieu de ces pavés mal plats et de tout ce beau monde; ce qui aurait comme conséquence de confirmer que pute je pouvais encore être considérée y compris dans une telle position, mais que face à ma presque totale nudité exhibée et un clito ayant fui son string dans ce chaos, ma féminité supposée aurait été mise à mal auprès de ceux qui l’avait supposée…
Concentrée en un mot comme en deux, je le restais sur les quelques centaines de mètres qui nous séparaient de la prochaine cible de Monsieur.
Le temps de cette balade urbaine, nocturne et citadine, me permit d’arriver à la conclusion que les regards les plus soutenus sur ma personne, pour ne pas dire concupiscents, émanaient naturellement d’hommes seuls qui devaient se dire en leur for intérieur que ce salaud avait une belle salope à sa disposition et qu’ils se la taperaient bien la salope… Sans se rendre compte, qu’il suffisait de nous suivre et qu’elle leur serait livrée sur un plateau pour tous les outrages ladite salope…
Ainsi se croisent parfois les réalités de celles et ceux qui se vivent, et de celles et ceux qui se fantasment…
C’est en longeant une rue un peu en retrait des mouvements de foule, bordée de maisons bourgeoises du début du siècle passé que Monsieur me fit descendre des escaliers menant à une entrée discrète. Nous n’allions manifestement pas entrer dans le club le plus huppé de la région. La dimension Underground du lieu nous sautait aux yeux avant même d’y entrer.
Échaudé par l’expérience précédente (voir 2ème partie…), Monsieur demanda avant toute chose au factotum de service si l’entrée était aussi accessible aux filles de mon genre, car manifestement, nous entrions dans un club homo… J’imagine qu’à défaut d’une foule débordante au sein de son établissement, il engrangea sans mécontentement deux entrées supplémentaires pour accéder à son tripot.
Car l’endroit est quelque peu spartiate et minimaliste; des vestiaires d’entreprise en guise de lieu de change donne sur ce qui sert de coin détente et boissons; des escaliers mènent aux entrailles du lieu.
Je fus vite délestée de ce qui cachait ce que je suis, à savoir mon manteau et mon sac à main. Monsieur se mit dans son plus simple appareil. Notre arrivée fit sortir de son terrier un homme sur le départ. Monsieur me pria de le suivre et je descendis les escaliers en gérant fémininement mes échasses pour pénétrer l’antre béante qu’une lumière tamisée ne suffisait à occulter la vétusté. Je ne pus m’empêcher de penser que cela allait certainement être la seule pénétration active que j’allais pratiquer en ces lieux…
Le temps pour nos yeux de se faire à l’atmosphère ambiante et nous arrivâmes dans une sorte de salle avec estrade recouverte de mosaïques de multiples couleurs lui conférant quelque chose qui tenait tout à la fois du kitsch, du disco et du rococo. Cela devait dater des années 60-70 et les lignes de ce lieu ont plus été fumées que dessinées sur plan.
Monsieur me pria de faire la belle sur l’estrade et me prit en photo…

Jouxtant ce lieu psychédélique, des petites salles et alcôves éparses nous rappelaient que nous étions bien dans les caves de l’immeuble sis au-dessus… Le tripot portait bien son nom et la décoration n’avait rien de rose, de la pierre de taille, du béton, des chaînes, des matelas… du brut de décoffrage gris sans fioriture pour homos en rut…
Il s’y trouvait deux groupes distincts qui se pelotaient : un couple et un trio…
Au milieu de ces alcôves souterraines, une plate-forme surmontée d’un grand matelas servait d’autel d’offrandes pour les parties plurielles ou les mises en pâture d’une viande offerte aux assauts des queutards locaux…
Pour l’heure, Monsieur déambulait, scrutant et apprivoisant les lieux. Il souhaitait visiblement détourner l’attention des activistes à l’oeuvre pour qu’ils se consacrent à la chair qui l’accompagnait, moi en l’occurrence. Il me fit donc prendre des poses dans les différents lieux et sièges de circonstance mis à disposition pour que je m’exhibe en prendre quelques clichés.
Vous le savez sans doute, les gays ne sont pas de fervents amateurs de transsexualité dès lors qu’elle donne une image empreinte d’une quelconque forme de féminité; mon profil et celui des occupants du lieu me firent penser que nous n’étions pas en odeur de sainteté…

Peu satisfait du retour d’intérêt suscité par mes mises en scène, Monsieur changea l’approche. Il prit soudainement un ton autoritaire liant le geste à la parole et me renversa sans ménagement sur le matelas central et me remplit la bouche de son membre en cours d’érection sans autre forme de procès. Avant d’être étouffée par la force de pénétration de cette chair si soudainement trop envahissante, j’eus juste le temps de me faire la réflexion que cette ruée était préméditée depuis quelques minutes, et que c’est cette idée qui était à l’origine de cette érection naissante.
Je n’allais certainement pas faire retomber la pression… bien au contraire, encouragé en cela par les râles de bonheur qu’il éructait. Je pris plaisir à me sentir ainsi et à l’entendre me traiter de ce que je devenais… une chienne qui devait satisfaire; et vu la manière, il n’envisageait pas que cela se limite à son seul plaisir.
Je m’attelai donc goulûment à la tâche, tantôt excitant son gland de ma langue quand il m’était donné de reprendre mon souffle, mais son propos était manifestement de me faire couiner et de provoquer des bruits de renvois et de déglutition à force de me pénétrer la gorge pour attirer l’attention des présents qui eux s’afféraient discrètement.
Cela fonctionna car le couple s’approcha et les deux se mirent à se branler en regardant Monsieur baiser la chatte buccale de sa femelle. Il faut dire qu’il y avait quelque chose à voir, Monsieur étant bien pourvu et la chienne bien disposée à rendre fier son Maître de circonstance.
Il en profita pour proposer mes services à ces Messieurs qui par timidité ou par devoir moral de réserve se contentaient de poursuivre leur branlette sans perdre une miette du spectacle.
Monsieur décida qu’il était temps de s’activer différemment. Il me redressa, me mit debout, me fit me tourner jambes écartées, le tronc couché sur le matelas, ma croupe offerte aux yeux de tous et à sa virilité désormais tendue comme une hallebarde prête à pourfendre.
C’est le moment qu’il choisit pour me donner l’occasion de le sentir en moi et d’exercer l’ascendant sur sa soumise pleinement et sans concession aucune. Monsieur se révéla pour le coup très endurant et cette queue que je trouvais buccalement très prenante, s’avérait être faite pour ma chatte anale. Je n’avais pas à me forcer pour couiner de bonheur et plus je couinais plus Monsieur donnait libre cours à sa fougue à grand renfort de va-et-vient profonds faisant résonner dans ce sous-sol le claquement de ses chairs sur les miennes.
C’est le moment que choisit un jeune homme pour s’ajouter à la liste des spectateurs. Il venait d’arriver et semblait moins timoré ou simplement plus excité que les autres face à la présence d’une femme à gros clito en ce lieu; cela était probablement dû à l’abstinence à laquelle il voulait mettre un terme en entrant dans un tel tripot. Il se montrait aussi beaucoup plus bavard.
Toute à mon face à face avec le matelas, je n’avais pas l’occasion d’entendre ce qui se disait, je sentis juste Monsieur orienter mon corps de sorte que ma tête puisse se positionner au bord du matelas. Je compris que Monsieur voulut profiter de l’intérêt du nouveau venu pour me mettre à l’épreuve de la pluralité après m’avoir mise à celle de l’exhibition…
Par bribes, je pus comprendre que le jeune homme était emballé par la scène dont il était devenu le témoin privilégié. Le genre d’individu à commenter à haute voix ce qu’il vit; il avait dû rater une opportunité de devenir commentateur sportif, ou peut-être l’était-il, et tellement imprégné par ce rôle qu’il n’arrivait plus à s’en détacher…
Peut-être avec l’espoir de pouvoir continuer de me tringler sans être perturbé, j’entendis Monsieur s’exclamer :
« Alors si tu la trouves à ton goût, qu’attends-tu pour venir lui baiser la bouche ! C’est pour cela qu’elle est ici ! »
Le jeunot ne se fit pas prier et entreprit de tester mes aptitudes à consentir une fellation avec le même enthousiasme qu’il avait de la commenter. Il avait la douceur et la précaution du jeune homme qui savoure sa première bière. Il faisait glisser son membre tout dur dans ma bouche en de lents et délicats allers-retours.
Monsieur continuait son oeuvre manifestement ravi de pouvoir consommer sa femelle sans vergogne aux yeux de tous…
Il décida de me retourner, me mis sur le dos, les jambes relevées, ce qui me fit lâcher la queue de mon autre prétendant. Ce ne fut que partie remise, le jeunot tira une de mes jambes à lui pour mieux présenter mes intimités aux élans de Monsieur. Il en profita pour se faire plus ferme. Il me prit la tête et la réorienta de sorte que ma bouche puisse poursuivre ce qu’elle avait prodigué jusque-là.
Monsieur reprit sa besogne après avoir relevé et replié mes jambes devant lui pour faire remonter mon intimité à bonne hauteur. Il pouvait à loisir se délecter de son propre spectacle comme le ferait le fauve de sa proie à sa merci. Tout à la fois acteur et spectateur de ce qu’il remettait en scène : à savoir une sodomie en règle de sa femelle, avec d’autant plus de ferveur qu’il profitait pleinement du spectacle de la fellation dont bénéficiait le jeunot. Celui-ci prenait plaisir à me dévisager allant jusqu’à caresser mon corps; Je fus même surprise de le sentir jouer avec mon clito, ou peut-être était-ce juste pour mieux voir la queue de Monsieur faire son chemin et constater de visu à quel point ma chatte anale pouvait s’élargir avec complaisance.

Cela durait le temps qu’il fallut à ces deux étalons devenus comparses pour qu’ils ressentent le besoin de varier les options du menu.
Monsieur se retira et m’ordonna d’aller m’installer sur un sling dans une des alcôves; aux fins de me rendre plus accessible par tous pensai-je.
Je me retirai en conséquence de la queue du jeune homme qui s’empressa de nous emboîter le pas désireux que sa ferme érection ne se ramollisse. Je le confortai dans son intention en me déhanchant du mieux que je pouvais sur les quelques pas qui nous séparaient de l’alcôve et un passant sensuellement mes mains dans mes cheveux, pour bien montrer à quel point j’étais prête à satisfaire.
Les autres spectateurs, excités ou non par ce qu’ils avaient vu, s’en étaient retournés à leurs petites affaires. « So much » pour plus de pluralité pensé-je…
Le trio, en vrais gays, continuaient ensemble de branler la queue de l’autre formant un triptyque masturbatoire improbable qui donnait l’impression qu’une force bien au-dessus de celle dont ils disposaient leur manquait pour faire preuve de plus de hardiesse et dépasser ce préliminaire. À ce point figés dans le tableau qu’ils composaient qu’il leur était impossible de montrer le moindre intérêt pour ce qui se passait à leur proximité.
À peine installée les jambes repliées et ancrées aux chaînes du sling suspendu à la voûte de l’alcôve, Monsieur entreprit de me travailler la chatte autrement que par sa virilité et se mit à me la fouiller de ses doigts inquisiteurs.
Je devais vraiment donné l’image d’une dinde déposée sur un étal qu’on s’apprêtait à vider de ses tripes par son croupion.
Sous l’oeil aussi curieux qu’ébahi du jeune homme qui n’en perdait aucune miette, Monsieur poursuivait ses investigations. J’avais le sentiment qu’il cherchait à savoir jusqu’où il pourrait me faire m’ouvrir… Au vu de son érection, cela l’excitait autant que de me prendre…
Je n’ai jamais pu comparer le bien que me procure d’être sodomisée par des queues à celui d’être dilatée par des doigts ou des godemichets. Je trouve cela anguleux, dur et n’en retire pas grand plaisir. Raison pour laquelle je ne suis pas fistable j’imagine. Quand bien même, je peux m’enorgueillir jusqu’ici, d’avoir toujours pu m’offrir, assumer mon rang et les attentes prédatrices de mes prétendants, quelle que soit la longueur ou/et la largeur de leur outil de plaisir; et certains furent de taille déraisonnable en comparaison de mon clito…
Monsieur donc, me fouillait tant et plus, avec tact je dois le reconnaître, un, puis très vite deux, puis trois doigts… mais je sentais bien que son but était de montrer au jeune homme qu’on pouvait obtenir plus d’une femelle en état de soumission consentie. Il s’attardait à m’élargir et à m’assouplir avec l’entonnoir formé par ces 4 doigts fouillant mon intimité. Il prenait appui avec son autre main sur mon entre-jambe pour éviter que mes éventuelles rétractations viennent empêcher ses progressions si je venais à me contracter, lui permettant de gérer au mieux la pression exercée ainsi sur mon sphincter.
Il dut se rendre compte, à moins que je le lui aie dit, que sa main ne pourrait se cacher entièrement dans mes entrailles; cependant, il s’attachait à m’élargir en me travaillant par de longues et lentes sollicitations, démontrant en cela au jeunot tout son savoir-faire…
Je me surpris à me laisser-aller, rassurée par le fait qu’il avait correctement perçu ma marge de tolérance en la matière et se contentant de jouer avec elle sans aller trop loin. mes couinements s’étaient transformés en de languissantes complaintes plus féminines que des râles au son grave. Il me restait cette forme de lucidité pour ne pas gâcher l’image de la femelle à clito qu’on voulait que j’exprime.
Le jeune homme se masturbait par excitation ou pour la maintenir tout en observant avec attention la scène. Jugeant m’avoir assez farfouillée, Monsieur lui suggéra de me prendre autrement que buccalement. Il ne se fit pas prié et s’encapuchonna. Fort de ce qu’il avait vu, il ne me ménagea pas et c’est sans aucune réserve qu’il entreprit son oeuvre faisant claquer mes chairs dès la première introspection charnelle.
L’enthousiasme le rendit volubile, il n’arrêtait plus de s’exclamer sur le bonheur de pouvoir baiser une femelle de la sorte, fût-elle de mon genre…
Poli et sans jurer, je l’entendais exprimer des tas de choses aussi agréables à entendre que le ressenti éprouvé à me sentir prise ainsi devant Monsieur, du genre :
« Ah que c’est bon ! »
« Vous en avez de la chance d’avoir une telle chienne ! » s’adressant à Monsieur.
Ce à quoi Monsieur répondit :
« Tu ne crois pas si bien dire. Je veux la faire progresser ! »
Le jeunot, ayant pris temporairement possession de mes chairs, faisait durer le plaisir. Monsieur vint installer sa belle queue dans ma bouche, me faisant ainsi comprendre que même au repos je devais faire la démonstration de mon rang.
Il était délicieux de se sentir ainsi offerte, confortablement installée, toute au bonheur de satisfaire en l’étant. Je fus tout à coup sortie de me relative torpeur de bien-être, les râles du jeune homme devinrent plus explicites, la cadence de ses coups de reins s’accéléra, jusqu’à ce que l’inéluctable se produisit :
« Ahhhh ? c’est trop bon ! j’en peux pluuuus… je jouiiis !
Et le jeune homme de se soulager sans ambage…
Monsieur estima qu’il était temps qu’il pense aussi à lui et se mit à me retravailler ma bouche et me gorge avec vigueur orientant ma tête bien face à lui en dehors du sling de sorte à me préparer à la suite.
Et la suite ne se fit pas attendre, il s’extirpa de ma voie buccale pour m’inonder le visage de son sperme ne se souciant guère de mon maquillage ni de mon apparence à venir… et revint en mon for intérieur pour s’assurer que j’étais aussi en mesure de goûter à sa jouissance en l’avalant, tout en me laissant sucer et lécher cette hampe devenue sensible avec délicatesse et reconnaissance…
J’aime cet instant où l’homme-fauve devient un être fragile, parce que vidé de sa substance, il se retrouve tout penaud face à son arme devenue hypersensible… Otage de la vacuité de ses hémisphères péniennes, il voit son pouvoir l’abandonner en même temps que l’hyper sensibilité de ce membre satisfait augmente. Je savourais goulument ce moment de pseudo pouvoir bien qu’il ne pouvait être que fugace…
Fugace dis-je ? Oui ! car à peine eut-il fini de me laisser essorer son vit, quelle ne fut pas ma surprise quand il s’exclama avec autorité :
« Erika ! Tu restes en l’état ! Nous n’en avons pas fini ce soir ! » Là où je t’emmène, je veux te voir assumer l’apparence de la femelle qui a fait jouir ! »
Interloquée, je ne pus réprimer une question teintée d’anxiété :
« Mais monsieur, dans la rue ?… »
Et avant la rue, il fallait passer devant le factotum de l’entrée du tripot et certainement avoir à croiser toutes celles et ceux qui devaient encore déambuler dans les rues à cette heure.
Forcément, cette remarque n’était que pure forme et vouée à ne pas être considérée par Monsieur.
Le jeune homme tout heureux de s’être soulagé prit congé. Les autres clients avaient déjà quitté le sous-sol.
Nous remontâmes, nous prîmes une petite collation en nous changeant; l’endroit ni le cadre n’étant propices aux effusions verbales. Mon apparence ne semblait pas déranger ceux qui m’avaient vues autrement plus dévergondée quelques minutes plus tôt.
Je me convainquis que mon masque de jouissance, allait tout au plus exciter l’imagination de celles ou ceux que j’allais croiser dehors et décidai d’être à l’aise avec mon apparence, n’étant finalement que le bagage accompagné des plaisirs de Monsieur; stratagème qui me suffit sur le moment à me dépersonnaliser juste ce qu’il fallait pour ne plus avoir à me préoccuper de mon apparence.
Nous quittâmes ce lieu et je dus prendre sur moi pour affronter les pavés sans trop chanceler; ils semblaient s’être arrondis autant que j’avais pu m’être assouplie les ouvertures charnelles…
(à suivre)